[Les Nouvelles] Arbitraire – Octobre 2020
BREAKING NEWS :
La malédiction « Stickboy » a encore frappé…
Le retirage du livre de Dennis Worden
-sous couverture offset quadri cette fois-
est disponible, mais nous sommes déjà en octobre !
Rendez-vous chez votre libraire ou sur notre site dès à présent…
(Attention, il reste quelques exemplaires avec couverture sérigraphiée
dans certaines librairies, et seulement 15 chez nous…
Autant vous dire que c’est un jeu de rapidité, ou de piste…)
Et on en profite pour partager avec vous un article de Frédéric Hojlo
paru sur Actuabd cet été.
À très vite quelque part, un de ces jours…
– Merci Antoine Marchalot pour votre optimisme –
DE NOUVEAU DISPONIBLE
– Stickboy –
Dennis Worden
Traduit de l’américain par
Telly Diallo et Alex Ratcharge
Postface par Alex Ratcharge
160 pages / 19 cm x 24,5 cm / 18 €
Impression intérieure n/b
Couverture à rabats – Quadri / Offest
En commande ici
Cartoon trash à l’humour cinglant, quête métaphysique jusqu’aux limites de l’introspection, Stickboy est le miroir de son auteur, éternel marginal n’ayant jamais trouvé sa place. Le protagoniste tutoie la folie, meurt, ressuscite, atterrit en prison, subit une apocalypse nucléaire, affronte Dieu en personne… Mais qui blâmer pour ses souffrances ? Son créateur ?
La société ? Ou bien son propre cynisme ? À moins qu’il n’y ait aucun responsable, et que le cosmos soit indifférent à ses créatures ? Cette quête de réponses qui plonge notre antihéros en enfer, c’est peut-être simplement celle d’un homme comme les autres, aux prises avec le mythe américain du self-made man.
« Stickboy fait partie des comics qu’il faut avoir lu, tout comme Eightball
de Daniel Clowes et Love & Rockets des frères Hernandez. »
Peter Bagge, auteur, En route pour Seattle
« Une espèce de chef d’oeuvre déglingué. »
Gary Groth, éditeur, Fantagraphics
« La BD qui annihile toutes les autres. »
Jaime Hernandez, auteur, Love & Rockets
« Aussi bon qu’un chapitre inédit de la Bible, qui aurait été censuré
parce qu’Adam et Eve y passent leur temps à s’écrouler et se plaindre. »
Gary Panter, auteur, Jimbo
Né en Californie dans les années 1950, Dennis Worden découvre la mouvance hippie à l’adolescence. Inspiré par le LSD, il rend les clés de son appartement et part sur les routes.
En 1981, il intègre Weirdo, la revue de Robert Crumb. Cette rencontre lui ouvre les portes de Fantagraphics, fer de lance de la BD indépendante aux Etats-Unis. Stickboy trouve son public chez les punks et marginaux de l’époque, parmi lesquels les auteurs Peter Bagge, Jaime et Gilbert Hernandez, ou Gary Panter. Quand Worden abandonne Fantagraphics avec la même détermination que son logement, Stickboy est adopté par le sulfureux éditeur Todd Loren, qui finira assassiné en 1992, puis par Starhead, Carnal Comics, Edge Of The World,
et aujourd’hui Arbitraire.
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris début août la mort de Gwendoline Desnoyers. Nous préparions depuis quelques temps un ouvrage avec elle, rassemblant une grande partie de sa merveilleuse production dessinée et peinte. Elle nous avait accueilli chez elle pour nous laisser numériser ses œuvres. Nous nous souviendrons d’un très agréable moment autour d’un feu de cheminée à échanger à propos de nos goûts musicaux pendant que le scanner ronronnait. C’est une jeune mais déjà immense artiste qui nous quitte.
Ce dessin avait été choisi pour figurer en couverture du livre.
« Stickboy » – Dennis Worden, bientôt de nouveau dispo !
Pas de panique ! « Stickboy » de Dennis Worden est épuisé en librairie mais
en cours de réimpression. Il sera de nouveau disponible en septembre.
Vous pouvez aussi le commander sur le site d’Arbitraire, il nous reste
quelques exemplaires du premier tirage.
Le strip par Antoine Marchalot
[Les Nouvelles] Arbitraire – Mai 2020
Il y a deux mois sortait en librairie « Stickboy », traduction française
du comics maudit de Dennis Worden.
Comme on l’apprend notamment dans la postface écrite
par Alex Ratcharge,
un caractère d’auteur bien trempé, l’arrêt de la publication d’un magazine underground,
l’assassinat d’un éditeur auront,
outre-atlantique, invisibilisé « Stickboy »…
Nous ne fûmes pas trop étonné-es qu’un virus empêche
sa propagation en France donc, dans la juste lignée de son histoire,
et qu’un article dans Libération en vante la qualité quelques jours
après la fermeture des librairies…
Mais il est toujours sur table, procurez-vous le donc au plus vite,
avant le flot de nouveautés à venir !
« En fait, Stickboy, c’est Winnie l’ourson avec une
bouteille de mauvais bourbon. »
Marius Chapuis, Libération
Étant donné le contexte (embouteillage à venir en librairie avec mise en avant inévitable des titres les plus faciles à vendre), nous repoussons toutes nos sorties à 2021. Pour nous accompagner dans cette période extrêmement frustrante de nos vies d’éditrice/éditeur, vous pouvez aller fouiller notre catalogue ici, commander nos livres en ligne ou dans votre libraire indépendante, et lancer un méga boycott des grandes enseignes ne respectant ni le droit du travail, ni les travailleurs et les travailleuses, ni la valeur artistique du travail que nous entendons défendre.
TOUJOURS EN LIBRAIRIE
– Stickboy –
Dennis Worden
Traduit de l’américain par
Telly Diallo et Alex Ratcharge
Postface par Alex Ratcharge
160 pages / 19 cm x 24,5 cm / 18 €
Impression intérieure n/b
Couverture à rabats sérigraphiée 4 passages
Sortie en librairie le 28 Février 2020
En commande ici
Cartoon trash à l’humour cinglant, quête métaphysique jusqu’aux limites de l’introspection, Stickboy est le miroir de son auteur, éternel marginal n’ayant jamais trouvé sa place. Le protagoniste tutoie la folie, meurt, ressuscite, atterrit en prison, subit une apocalypse nucléaire, affronte Dieu en personne… Mais qui blâmer pour ses souffrances ? Son créateur ? La société ? Ou bien son propre cynisme ? À moins qu’il n’y ait aucun responsable, et que le cosmos soit indifférent à ses créatures ? Cette quête de réponses qui plonge notre antihéros en enfer, c’est peut-être simplement celle d’un homme comme les autres, aux prises avec le mythe américain du self-made man.
« Stickboy fait partie des comics qu’il faut avoir lu, tout comme Eightball
de Daniel Clowes et Love & Rockets des frères Hernandez. »
Peter Bagge, auteur, En route pour Seattle
« Une espèce de chef d’oeuvre déglingué. »
Gary Groth, éditeur, Fantagraphics
« La BD qui annihile toutes les autres. »
Jaime Hernandez, auteur, Love & Rockets
« Aussi bon qu’un chapitre inédit de la Bible, qui aurait été censuré
parce qu’Adam et Eve y passent leur temps à s’écrouler et se plaindre. »
Gary Panter, auteur, Jimbo
Né en Californie dans les années 1950, Dennis Worden découvre la mouvance hippie à l’adolescence. Inspiré par le LSD, il rend les clés de son appartement et part sur les routes.
En 1981, il intègre Weirdo, la revue de Robert Crumb. Cette rencontre lui ouvre les portes de Fantagraphics, fer de lance de la BD indépendante aux Etats-Unis. Stickboy trouve son public chez les punks et marginaux de l’époque, parmi lesquels les auteurs Peter Bagge, Jaime et Gilbert Hernandez, ou Gary Panter. Quand Worden abandonne Fantagraphics avec la même détermination que son logement, Stickboy est adopté par le sulfureux éditeur Todd Loren, qui finira assassiné en 1992, puis par Starhead, Carnal Comics, Edge Of The World,
et aujourd’hui Arbitraire.
Sortie Stickboy // Dennis Worden – 28 Février 2020
Aujourd’hui sort en librairie « Stickboy« , de Dennis Worden.
On a vu des auteurs américains passer devant notre stand à Angoulême
en nous disant combien ce comics avait changé leur vie, de l’autre côté
de l’Atlantique il y a 30 ans,quand « Stickboy » était édité
chez Fantagraphics.
On ne doute pas que la traduction d’Alex Ratcharge et Telly Diallo fera
de même pour les lectrices et lecteurs en langue française.
Ça parle de se démener pour être heureux·se et droit·e dans ses bottes
dans un monde hostile, c’est « L’Homme révolté » de Camus à la sauce « South Park »…
Et vous comprendrez pourquoi Stickboy
s’était perdu dans les méandres de l’Histoire en lisant
la postface d’Alex Ratcharge.
EN LIBRAIRIE LE 28 Février
– Stickboy –
Dennis Worden
Traduit de l’américain par
Telly Diallo et Alex Ratcharge
Postface par Alex Ratcharge
160 pages / 19 cm x 24,5 cm / 18 €
Impression intérieure n/b
Couverture à rabats sérigraphiée 4 passages
Sortie en librairie le 28 Février 2020
En commande ici
Cartoon trash à l’humour cinglant, quête métaphysique jusqu’aux limites de l’introspection, Stickboy est le miroir de son auteur, éternel marginal n’ayant jamais trouvé sa place. Le protagoniste tutoie la folie, meurt, ressuscite, atterrit en prison, subit une apocalypse nucléaire, affronte Dieu en personne… Mais qui blâmer pour ses souffrances ? Son créateur ?
La société ? Ou bien son propre cynisme ? À moins qu’il n’y ait aucun responsable, et que le cosmos soit indifférent à ses créatures ? Cette quête de réponses qui plonge notre antihéros en enfer, c’est peut-être simplement celle d’un homme comme les autres, aux prises avec le mythe américain du self-made man.
« Stickboy fait partie des comics qu’il faut avoir lu, tout comme Eightball
de Daniel Clowes et Love & Rockets des frères Hernandez. »
Peter Bagge, auteur, En route pour Seattle
« Une espèce de chef d’oeuvre déglingué. »
Gary Groth, éditeur, Fantagraphics
« La BD qui annihile toutes les autres. »
Jaime Hernandez, auteur, Love & Rockets
« Aussi bon qu’un chapitre inédit de la Bible, qui aurait été censuré
parce qu’Adam et Eve y passent leur temps à s’écrouler et se plaindre. »
Gary Panter, auteur, Jimbo
Né en Californie dans les années 1950, Dennis Worden découvre la mouvance hippie à l’adolescence. Inspiré par le LSD, il rend les clés de son appartement et part sur les routes.
En 1981, il intègre Weirdo, la revue de Robert Crumb. Cette rencontre lui ouvre les portes de Fantagraphics, fer de lance de la BD indépendante aux Etats-Unis. Stickboy trouve son public chez les punks et marginaux de l’époque, parmi lesquels les auteurs Peter Bagge, Jaime et Gilbert Hernandez, ou Gary Panter. Quand Worden abandonne Fantagraphics avec la même détermination que son logement, Stickboy est adopté par le sulfureux éditeur Todd Loren, qui finira assassiné en 1992, puis par Starhead, Carnal Comics, Edge Of The World,
et aujourd’hui Arbitraire.
Samedi 29 février, la Luttine vous invite à fêter la sortie de Stickboy,
de Dennis Worden – une bande dessinée ricaine des années 80/90, punk,
psychédélique, philosophique, vulgaire et trash, fraîchement traduite
et publiée aux éditions Arbitraire.
Au programme: gaufres, apéro, et plus si affinités !
À partir de 16h au 91 rue Montesquieu, 69007 Lyon.
Worden dans MRR : http://maximumrocknroll.com/punk-comic-history-part-3-dennis-worden/
Arbitraire – Les Nouvelles – Janvier 2020
Comme chaque année, nous serons à « La BD » pour le
Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême,
du 30 janvier au 2 février.
Gros programme cette année : en plus de fêter la sortie en preview
de Stickboy de Dennis Worden, certain·e·s partageront le don d’ubiquité.
Antoine Marchalot et Oriane Lassus galoperont entre leurs éditeurs respectifs et
des expositions personnelles qui leurs sont consacrées
par le festival pour l’un, et l’ÉESI pour l’autre.
Et Renaud Thomas sortira d’une grosse semaine d’impression
avec l’Association CHIFOUMI,
venez le soutenir après ses moult nuits blanches !
– La bande d’Antoine Marchalot dessinée –
L’alpha – Médiathèque
1 Rue Coulomb, 16000 Angoulême
Du 30 janvier 2020 au 02 février 2020
Commissaire :
Antoine Marchalot
Scénographes :
Antoine Marchalot & Margaux Duseigneur
Rencontre samedi 1er février à 11h00
La Bdthèque,
Espace Franquin, 1 Boulevard Berthelot, 16000 Angoulême
L’exposition d’Antoine Marchalot est un voyage dans les différentes productions, construit à peu près comme ses BD :
n’importe comment, sans queue ni tête, du moment qu’on peut y voir régulièrement un chien rigolo pour détendre l’atmosphère.
On y verra ses planches mais aussi des recherches, des peintures, des photos de vacances,
tout ce qui est susceptible de faire passer un bon moment à des visiteurs exténués.
https://www.bdangouleme.com/la-bande-antoine-marchalot-dessinee
- Oriane Lassus : Lauréate du Prix de l’ÉESI 2020 –
(Verrière de l’ÉESI)
Inauguration le jeudi 30 janvier à 12h30, Verrière de l’ÉESI
Horaires d’ouverture pendant le FIBD :
Jeudi 30 et vendredi 31 janvier : 10h-19h
Samedi 1er février : 10h-20h
Dimanche 2 février : 10h-17h
Puis, jusqu’au Samedi 15 février
(Journée Portes ouvertes de l’ÉESI), de 10h à 17h
Entrée libre
Le Prix de l’ÉESI 2020 et l’exposition qui lui est consacrée
offrent une nouvelle occasion de plonger dans l’univers
d’Oriane Lassus, un univers aux traits noirs et aux accents parfois désenchantés –
mais souvent très drôles, où se joue autrement la banalité des scènes de la vie quotidienne,
où les lieux communs de l’existence post-moderne
(du supermarché au road-trip familial), où les pseudoévidences
des traditions, comme celles de l’habitude – danser, draguer,
avoir des enfants ou pas – sont passés au révélateur acide de la jeune autrice.
L’exposition donne à voir un large aperçu des travaux d’Oriane Lassus,
puisant dans son archive personnelle ou dans son blog, et dans les
ouvrages qu’elle a publiés ces dernières années :
Sylvie pour la caisse 5 (Éditions Hécatombe / coll. RVB, 2018,
publication numérique) ; Le Meilleurissime Repaire de la Terre
(Éditions Biscoto, 2017, pour les jeunes lecteurs) ;
Quoi de plus normal qu’infliger la vie ? (Éditions Arbitraire, 2016) ;
Immobilerie Pointure, (Éditions Super Structure, 2013) ;
Ça va derrière ? (Éditions Vraoum, 2012).
https://www.eesi.eu/site/spip.php?article2147
Et aussi :
Rencontre le jeudi 30 janvier – 9h00 dans le cadre de la conférence
« L’expérimentation est-elle soluble dans la bande dessinée ? »
Oriane Lassus & Jean-Christophe Menu,
animée par Julien Misserey
L’Alpha – Médiathèque de Grand Angoulême
1 Rue Coulomb
16000 Angoulême
Renaud Thomas sera présent pendant toute la durée de la résidence
Pierre Feuille Ciseaux http://www.pierrefeuilleciseaux.com/
en tant que sérigraphe dévoué !
– Stickboy –
Dennis Worden
Traduit de l’américain par
Telly Diallo et Ratcharge
Postface par Ratcharge
160 pages / 19 cm x 24,5 cm / 18 €
Impression intérieure n/b
Couverture à rabats sérigraphiée 4 passages
Sortie en librairie le 28 Février 2020
« Hilarant, débordant de nihilisme
et d’angoisse existentielle… J’adore. »
Robert Crumb.
Stickboy, c’est L’Homme Révolté de
Camus à la sauce South Park.
Renvoyé de son travail, le protagoniste se heurte à des recruteurs sadiques, et autres humiliations bien connues des chômeurs non-qualifiés. Ecoeuré des compromis, il détruit son logement et choisit de devenir SDF. C’est le début d’une plongée dans l’Amérique de la fin du vingtième siècle. Celle des drogués, hippies, punks, gourous, ados rebelles… Mais aussi des businessmen, politiciens, et autres « gagnants »
de la société de consommation.
Tourmenté et fataliste, Stickboy est obsédé par sa place dans l’univers. Ici, il prend conscience de son statut de personnage aux mains d’un créateur sadique ; là, il croise un insecte qui lui vante les mérites du développement personnel. Mais le voilà qui glisse entre les espaces-temps, et atterrit dans des dimensions parallèles. Il y rencontre son alter-égo, l’odieux Cubeman. Encore plus misanthrope que lui, ce dernier finira avachi sur un trottoir, à insulter les passants, sans jamais se considérer responsable de son sort.
Cartoon trash à l’humour cinglant, quête métaphysique jusqu’aux limites de l’introspection, Stickboy est le miroir de son auteur, éternel marginal n’ayant jamais trouvé sa place. Le protagoniste tutoie la folie, meurt, ressuscite, atterrit en prison, subit une apocalypse nucléaire, affronte Dieu en personne… Mais qui blâmer pour ses souffrances ? Son créateur ? La société ? Ou bien son propre cynisme ? À moins qu’il n’y ait aucun responsable, et que le cosmos soit indifférent à ses créatures ? Cette quête de réponses qui plonge notre antihéros en enfer, c’est peut-être simplement celle d’un homme comme les autres, aux prises avec le mythe américain du self-made man.
Né en Californie dans les années 1950, Dennis Worden découvre la mouvance hippie à l’adolescence. Inspiré par le LSD,
il rend les clés de son appartement et part sur les routes.
En 1981, il intègre Weirdo, la revue de Robert Crumb. Cette rencontre lui ouvre les portes de Fantagraphics, fer de lance de la BD indépendante aux Etats-Unis. Stickboy trouve son public chez les punks et marginaux de l’époque, parmi lesquels les auteurs Peter Bagge, Jaime et Gilbert Hernandez, ou Gary Panter. Quand Worden abandonne Fantagraphics avec la même détermination que son logement, Stickboy est adopté par le sulfureux éditeur Todd Loren, qui finira assassiné en 1992, puis par Starhead, Carnal Comics, Edge Of The World, et aujourd’hui Arbitraire.
Arbitraire – Les Nouvelles – Décembre 2019
Un nouveau zine et quelques petites déambulations
du côté d’Arbitraire ce mois-ci.
Retouvez certain·e·s de nous à Genève,
d’autres à Lyon pour un petit marché de Noël,
et tout le monde à la Grève Générale,
à partir de jeudi 5 décembre !
Pétain Reviens ! T’as oublié tes chiens !
Par Pierre Ferrero
15 x 21 cm 28 pages noir & blanc
5 €
Disponible à la commande ici
» LE JEUDI C’EST CRASSS «
15 ANS D’HECATOMBE !
Le Zoo – Usine 4, place des Volontaires (Jonction) – Genève
Ouverture des portes 21h
Retrouvez JM Bertoyas et Renaud Thomas
en DJ Poubelles pour les 15 ans de nos ami·e·s d’Hécatombe !
Bound By Endogamy
Sammy Stein
Ampere Eel
DJ Poubelles
Prix libre – À partir de 16 ans
Marché de Noël
Stamtich 2 avenue berthelot,
69007 Lyon
Dimanche 15 décembre 2019
De 14h à 19h30
On se réjouit par ailleurs de vous annoncer la parution prochaine
de la traduction d’un classique des comics punk
américain années 80/90,
À paraître en février chez Arbitraire.
Un petit mot de Gary Panter en guise de jeu de piste,
et d’amuse-bouche.
pour nous contacter, un seul mail : arbitraire@arbitraire.fr