Dans son Prédateur Urbain, Geraud revêt le cuir de Joseph, antihéros d’une auto-fiction déroutante. Il nous dévoile ses rêves et ses fantasmes mais aussi une part de son quotidien lyonnais dans un style cru, sincère et plein d’humour. Le fond de ce récit reste très sombre et la forme s’en ressent : Geraud se régale dans l’utilisation de la plume et de l’encre de chine. Tout doit être recouvert de noir, ou presque.
32 pages n/b offset sous couverture couleur offset – 5€50
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